Introducción (Mundos perdidos: VIII)

«C’était un dimanche, la ville était tranquille, ils s’étaient arrêtés sur un pont et avaient regardé l’eau qui, paisible, coulait entre les rives verdâtres. Là où la rivière faisait un coude, une vieille villa entourée d’un jardin leur était apparue comme l’image d’un chez­soi rassurant, le rêve d’une idylle révolue. […] Après quelques pas, ils comprirent que la paix dominicale les avait bernés; le chemin était barré; ils se heurtèrent à un chantier abandonné: des machines, des tracteurs, des amas de terre et de sable; de l’autre côté de la rivière, des arbres abattus; et la villa dont la beauté les avait attirés quand ils l’avaient vue d’en haut laissait voir des vitres cassées et un grand trou á la place de la porte; derrière se dressait une haute construction d’u ne dizaine d’étages […] Une nouvelle fois, le regard d’Irena se porta sur l’autre rive et elle remarqua que les grands arbres abattus étaient en fleurs!...

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