Conclusiones (Mundos perdidos: IX)

Cuando Austerlitz y su interlocutor miran a las «aguas oscuras», ¿qué ven en realidad? Tal vez no sea descabellado sugerir que, en primera instancia, se ven a sí mismos. Reflejados en la superficie del agua, se observan, parafraseando a Foucault, allí donde no están. « Le miroir, après tout, c’est une utopie, puisque c’est un lieu sans lieu. Dans le miroir, je me vois là où je ne suis pas, dans un espace irréel qui s’ouvre virtuellement derrière la surface, je suis là­bas, là où je ne suis pas, une sorte d’ombre qui me donne à moi­même ma propre visibilité, qui me permet de me regarder là où je suis absent —utopie du miroir. Mais c’est également une hétérotopie, dans la mesure où le miroir existe réellement, et où il a, sur la place que j’occupe, une sorte d’effet en retour ; c’est à partir du miroir que je me découvre absent à la place où je suis puisque je me vois là-bas» (Foucault 1984). Al mirarse en el espejo de...

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